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Ce que vous devez savoir sur l’Opéra de Lyon

Publié le
13/1/2024

Son histoire

Si sa structure moderne peut laisser penser que ce monument est récent, il n’en n’est rien ! Son histoire remonte lorsque Soufflot (à qui l’on doit le Panthéon) se voit confier le projet du Grand Théâtre en 1754.

Sur le modèle des bâtiments italiens, il construit une salle de spectacle ovale révolutionnaire de 2 000 places, avec trois balcons, où chacun voit, mais peut aussi être vu! Malheureusement, son chef-d’œuvre disparaîtra en 1826, détruit par un incendie dévastateur.

Antoine-Marie Chenavard et Jean-Marie Pollet s’attellent à le remplacer, et en 1831 un nouvel opéra de 1 800 fauteuils est inauguré́.

Des travaux nécessaires

En 1986, malgré́ divers aménagements, sa vétusté est telle qu’il faut le rénover. Au départ simple mise aux normes, le chantier devient peu à peu pharaonique. Plus de quatre saisons se tiendront hors des murs.

C’est l’architecte Jean Nouvel qui décroche alors le contrat de rénovation de l’opéra. Il décide de ne conserver que la façade et le foyer public. En revanche, il érige un édifice aux dimensions insoupçonnées... de dix-huit étages !! Si vous n’avez jamais vu les dix-huit en entier, c’est que cinq se cachent en sous-sol, dont un abrite un amphithéâtre. Sept étages sont visibles sous la verrière qui en abrite elle-même six.

Si son apparence lui a bien vite valut le surnom de grille-pain et a pu choquer les lyonnais au départ, son style est maintenant partie intégrante du paysage urbain de la ville.

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Axelle
13/1/2024
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23/11/2019

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Si sa structure moderne peut laisser penser que ce monument est récent, il n’en n’est rien ! Son histoire remonte lorsque Soufflot (à qui l’on doit le Panthéon) se voit confier le projet du Grand Théâtre en 1754.

Sur le modèle des bâtiments italiens, il construit une salle de spectacle ovale révolutionnaire de 2 000 places, avec trois balcons, où chacun voit, mais peut aussi être vu! Malheureusement, son chef-d’œuvre disparaîtra en 1826, détruit par un incendie dévastateur.

Antoine-Marie Chenavard et Jean-Marie Pollet s’attellent à le remplacer, et en 1831 un nouvel opéra de 1 800 fauteuils est inauguré́.

Des travaux nécessaires

En 1986, malgré́ divers aménagements, sa vétusté est telle qu’il faut le rénover. Au départ simple mise aux normes, le chantier devient peu à peu pharaonique. Plus de quatre saisons se tiendront hors des murs.

C’est l’architecte Jean Nouvel qui décroche alors le contrat de rénovation de l’opéra. Il décide de ne conserver que la façade et le foyer public. En revanche, il érige un édifice aux dimensions insoupçonnées... de dix-huit étages !! Si vous n’avez jamais vu les dix-huit en entier, c’est que cinq se cachent en sous-sol, dont un abrite un amphithéâtre. Sept étages sont visibles sous la verrière qui en abrite elle-même six.

Si son apparence lui a bien vite valut le surnom de grille-pain et a pu choquer les lyonnais au départ, son style est maintenant partie intégrante du paysage urbain de la ville.

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